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2(H²O)2H²+O²

         Aujourd'hui, on parle de pollution, de réchauffement de la planète, de changement de climat on peut constater les effets de la marée noire sur nos plages.

Oui, mais on ne fait qu'en parler: les gouvernements, les différents sommets mondiaux ( comme celui de KIOTO) n'y ont rien changé mis à part quelques lois sur les gaz propulseurs qui sont la partie émergée de l'iceberg.

Combien émet de pollution un avion gros porteur au décollage, combien émettent tous ces poids lourds mal réglés ou aux moteurs fatigués , ces bus de ville qui démarrent dans un nuage noir, ces engins de chantier etc. etc.

Si rien n'est fait, dans quelques dizaines d'années, voire moins si la consommation mondiale progresse plus vite que prévu, le bouleversement climatique sera tel que certaines populations ne pourront échapper à la montée des eaux, que les tempêtes que l'on a connu en 1999, le tsunami de 2004, les cyclones de 2005, seront monnaie courante sous notre latitude, sans compter que, un jour ou l'autre quand même, on manquera de matières fossiles. Tout gisement a un début et une fin.

L'extraction du pétrole suit une courbe dite "en cloche", aujourd'hui, nous sommes sur la pente descendante de la cloche: ce qui amène que les prix vont monter proportionnellement.

Les véhicules à combustion interne à pistons et à bielles ne devraient plus exister depuis au moins 70 ans: cette technologie est totalement révolue. Il faut savoir que ce type de moteur a un rendement de l'ordre de 35 à 40% pour les plus performants, contre 80 à 99% pour un moteur électrique.

Cela implique que non seulement on pollue, mais en plus on gaspille des précieuses matières premières qui pourraient être converties en plastiques de haute technologie ( la liste des produis dérivés du pétrole est impressionnante!).

Par ailleurs, plus l'on contribue à l'effet de serre, plus l'on consommera d'énergie grâce aux climatiseurs pour diminuer la température de l'air ambiant dans nos véhicules et nos habitations et on augmente encore l'effet de serre etc. etc.

Aujourd'hui divers axes de recherches on été étudiés:

1- Le véhicule électrique: très agréable à conduire, nerveux, puissant mais dépendant de batteries à autonomie limitée (100kms) et dont le recyclage pose des problèmes. Sans compter que chez nous (en France), pour produire de l'électricité il nous faut de l'uranium, et que fait on des déchets radioactifs dangereux pour des siècles?

2- Le véhicule à GPL: oui mais le GPL est un sous produit du pétrole qui ne peut être produit en quantités suffisantes si le nombre de véhicules dépasse un certain pourcentage du parc. Mais ici on diminue déjà la pollution.

3- Le véhicule à air comprimé: idéal en ville mais avec les inconvénients du véhicule électrique ( autonomie et uranium).Très prometteur toutefois.

Il y a eu d'autre recherches: véhicule à volant d'inertie etc.. mais sans suites.

Il y a quand même quelques espoirs:

1- le véhicule magnétique de PERENDEV (*): 1,5 million de kms sans refaire le plein ( moteur magnétique à aimants à terre rare).

2- Le véhicule électrique auto-alimenté de TILLEY (*)

3- Le moteur à eau dont nous parlons ici, et qui, de plus nous permettrait dans un premier temps de continuer à utiliser nos vieilles machines à pistons et vilbrequins.

Pour les sceptiques, des réalisations fonctionnent déjà selon différent principes (*) , les plus connues aujourd'hui sont la Toyota 1600 de Daniel DINGLE, les réalisations de Stanley MEYER, et le moteur eau-aluminium (*)

(*): figurent dans la rubrique"liens" de ce site

Voilà, j'espère que ce site répondra à vos attentes, le montage proposé est toujours en expérimentation, et n'oubliez pas que l'on ne laissera pas la Terre à nos enfants, mais que ce sont eux qui nous la prêtent pour un certain temps...

Le but de ce site est de traiter du moteur à eau exclusivement.

A aucun moment il n'est fait mention de garantie des résultats!!

Il ne sera pas fait état de combustibles mêlant l'eau à l'alcool ou essence ou autre.

L'electrolyse simple est également exclue, au même titre que la fusion de carbone sous eau ( gaz de Brown, voir site de Jean-louis Naudin) car ces procédés ne génèrent pas suffisamment d'hydrogène et consomment trop!

AUJOURD'HUI: on peut trouver sur internet ceci:( sur l'excellent site de JL Naudin ou du non moins excellent Quanthomme)

Plans et conseils pour faire fonctionner un moteur classique avec de l'eau.

Ces plans ont été envoyés de façon anonyme à Spirit of Ma’at LLC qui les a soumis à un expert et à un inventeur d'un système similaire breveté : ces informations leur ont paru sérieuses.

Si vos connaissances en mécanique auto vous le permettent, ou avec l'aide d'un professionnel, vous pouvez essayer de réaliser ce système, de préférence sur une voiture dont vous ne vous servez pas régulièrement.

De toutes manières, sauf nécessité, il est recommandé de conserver intact l'équipement de base de la voiture, pour pouvoir y revenir ou rouler, comme le font certains (un système de ce genre est testé à Mexico), soit avec essence, soit avec eau. Le système hybride a aussi l'avantage de ne pas avoir à démonter la culasse et enlever le pot d'échappement, sinon en version 100 % eau il faut installer un pot en inox.

Ces modifications qui peuvent se faire à frais réduits avec des composants du commerce peuvent permettre de rouler avec l'eau du robinet, sans changer la batterie, seulement en se branchant sur le carburateur ou l'injecteur.( Non! pas sur l'injecteur puisque l'on obtient du gaz: directement à l'entrée d'air)

La simplicité du système réside dans le fait que la puissance est obtenue suivant les besoins, qu'il n'y a pas de stockage (dangereux) de gaz (c'est bien évidemment de l'hydrogène qui fait fonctionner ce type de système).

Si on a le choix, pourquoi continuer à dépenser nos euros en achetant de l'essence, alors qu'un réservoir en plastique rempli d'eau du robinet (qui contient bien plus d'énergie qu'un hydrocarbure) peut nous permettre de rouler, et sans polluer ?( Il y a quand même un cout au système car il faut changer tout l'échappement pour de l'inox et traiter le moteur à la céramique sinon: l'oxydation arrive)

Comment fonctionne ce système ?

C'est tout simple, l'eau est pompée afin de remplir la chambre en maintenant le bon niveau. On fait vibrer (comme un diapason)( On peut plutôt parler ici de résonnance au niveau de la molécule) les électrodes avec une impulsion électrique de 0.5-5A qui dissocie l'eau 2(H₂O) => 2H₂ + O_2. Quand la pression atteint environ 30-60 psi, on met le contact et en avant !( Comptez 4 bonnes ampères)

Plus on appuie sur la pédale, plus on envoie d'énergie aux électrodes et par conséquent plus de gaz dans les cylindres.( En fait, c'est la largeur d'impulsion du deuxième oscillateur à base de NE555, qui varie)

Voir les schémas initiaux

Vous pouvez télécharger toutes les explications de construction, la liste des composants, les plans (dossier compressé de 218 ko)…

Voir aussi brevet de Stephen Chambers qui est cité dans ce dossier:

http://l2.espacenet.com/dips/bnsviewer?CY=ch&LG=fr&DB=EPD&PN=US6126794&ID=US+++6126794A1+I+

MAJ 19 septembre 2007  (Divers + liens mis à jour)